A quelques jours du scrutin présidentiel du 24 octobre, malgré des tentatives orchestrées de déstabilisations de la CENI, l'institution sous la présidence de Louseny Camara élu par la plénière du 21 septembre dernier s'organise, se mobilise... pour la tenue effective de cette date à laquelle les Guinéens et la Communauté internationale tiennent tant.
Mais, c'est sans compter sur la mauvaise foi, la volonté nuisible, la détermination inébranlable d'une poignée de cadres disseminés dans l'ensemble de l'administration et des institutions républicaines, prêts à tous les sacrifices pour s'accrocher au pouvoir ou pérenniser la transition.
Sinon, comment expliquer le refus arrogant d'Alhassane Barry, l'actuel Gouverneur de la Banque Centrale de la République de Guinée de décaisser les fonds de la CENI pour effectuer les dépenses liées au transport du matériel électoral, du paiement des agents des démembrements de la CENI et le mutisme des autorités de la transition, et ce; à une semaine du rendez-vous historique pour le pays?
A propos et manifestement, il y a anguilles sous roche.
En s'opposant au décaissement des fonds de la CENI, au prétexte fallacieux et à l'argument irrecevable qu'une crise prévaut en son sein, Alhassane Barry participe activement au sabotage du second tour dont il pourrait être considéré et jugé par les Guinéens comme l'un des principaux responsables de l'échec.
Pour qui roule le très controversé Gouverneur de la BCRG?
Alors que les fonds de la CENI sont volontairement bloqués, des commerçants, des entreprises locales... avec lesquels Alhassane Barry et autres gros bonnets sont en relation d'affaires, décaissent tout le temps des milliards de francs guinéens des caveaux de la BCRG. C'est un secret de polichinelle.
"L'argent est le nerf de la guerre", dit-on.
Le 24 octobre, le corps électoral guinéen est convoqué aux urnes. Cette date est inamovible. Aucune manoeuvre politicienne, aucune tactique machiavélique, aucune ruse technique, aucune intelligence diabolique, aucune stratégie pour une nouvelle prolongation n'est possible. Envisageable. Les Guinéens et la communauté internationale n'en peuvent plus. Trop c'est trop!
Quoi qu'il en soit, si un nouveau report devrait intervenir pour faute de décaissement des fonds en vue d'effectuer les derniers reglages de l'élection du 24 octobre, Louseny Camara et la CENI ne seront d'aucune manière, pour le présent et pour l'histoire, tenus pour responsables du fiasco.
A qui profite le blocage des fonds de la CENI?
GUINEE24 /
Mais, c'est sans compter sur la mauvaise foi, la volonté nuisible, la détermination inébranlable d'une poignée de cadres disseminés dans l'ensemble de l'administration et des institutions républicaines, prêts à tous les sacrifices pour s'accrocher au pouvoir ou pérenniser la transition.
Sinon, comment expliquer le refus arrogant d'Alhassane Barry, l'actuel Gouverneur de la Banque Centrale de la République de Guinée de décaisser les fonds de la CENI pour effectuer les dépenses liées au transport du matériel électoral, du paiement des agents des démembrements de la CENI et le mutisme des autorités de la transition, et ce; à une semaine du rendez-vous historique pour le pays?
A propos et manifestement, il y a anguilles sous roche.
En s'opposant au décaissement des fonds de la CENI, au prétexte fallacieux et à l'argument irrecevable qu'une crise prévaut en son sein, Alhassane Barry participe activement au sabotage du second tour dont il pourrait être considéré et jugé par les Guinéens comme l'un des principaux responsables de l'échec.
Pour qui roule le très controversé Gouverneur de la BCRG?
Alors que les fonds de la CENI sont volontairement bloqués, des commerçants, des entreprises locales... avec lesquels Alhassane Barry et autres gros bonnets sont en relation d'affaires, décaissent tout le temps des milliards de francs guinéens des caveaux de la BCRG. C'est un secret de polichinelle.
"L'argent est le nerf de la guerre", dit-on.
Le 24 octobre, le corps électoral guinéen est convoqué aux urnes. Cette date est inamovible. Aucune manoeuvre politicienne, aucune tactique machiavélique, aucune ruse technique, aucune intelligence diabolique, aucune stratégie pour une nouvelle prolongation n'est possible. Envisageable. Les Guinéens et la communauté internationale n'en peuvent plus. Trop c'est trop!
Quoi qu'il en soit, si un nouveau report devrait intervenir pour faute de décaissement des fonds en vue d'effectuer les derniers reglages de l'élection du 24 octobre, Louseny Camara et la CENI ne seront d'aucune manière, pour le présent et pour l'histoire, tenus pour responsables du fiasco.
A qui profite le blocage des fonds de la CENI?
GUINEE24 /
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire