Depuis plus d’une semaine que la Banque centrale bloque tous les décaissements en faveur de la CENI, l’opinion se demande si les querelles de clocher volontairement entretenues par l’UFDG et alliés, ne sont pas entrain de déborder sur la plus grosse institution bancaire du pays.En effet, le Président de la CENI, Lounceny Camara, n’arrive plus à décaisser un Franc du compte de la CENI domicilié à la Banque centrale.
Chaque fois que la CENI pointe à la Banque pour décaisser, on le notifie que « Vous ne pouvez pas décaisser pour le moment parce que la CENI connait de petits problèmes internes ».
Cette thèse est une prise de position manifeste dans le conflit qui couve à la CENI.
Etant donné que Lounceny Camara a été élu en plénière, avec une majorité confortable, 17 sur 23, dans le respect des textes, on ne comprend pas pourquoi veut-on créer une tempête dans un verre d’eau.
Il a officiellement pris service, proposé au Président de la république la date du 24 octobre pour le second tour que ce dernier à validé et posé assez d’actes administratifs dans les formes de l’art.
Ce n’est pas parce que, entre temps, une « rébellion » savamment entretenue par des quidams bien connus distraie l’opinion des enjeux électoraux du second tour, que la Banque centrale va empêcher la CENI d’entrer en possession de ses ressources financières.
Il semble que la cause est ailleurs. C’est-à-dire que le responsable de ce compte à la Banque centrale se trouve être ni plus, ni moins, qu’un proche de l’UFDG.
Il faut que cette situation cesse, sinon le 24 octobre ne pourrait être qu’une date de plus.
Le Premier ministre, le Ministre de l’économie et des finances, le MATAP et tout le Gouvernement doivent se mobiliser, pour résoudre ce faux problème.
Avant qu’il ne soit trop tard…
Oumar Kaba
Chaque fois que la CENI pointe à la Banque pour décaisser, on le notifie que « Vous ne pouvez pas décaisser pour le moment parce que la CENI connait de petits problèmes internes ».
Cette thèse est une prise de position manifeste dans le conflit qui couve à la CENI.
Etant donné que Lounceny Camara a été élu en plénière, avec une majorité confortable, 17 sur 23, dans le respect des textes, on ne comprend pas pourquoi veut-on créer une tempête dans un verre d’eau.
Il a officiellement pris service, proposé au Président de la république la date du 24 octobre pour le second tour que ce dernier à validé et posé assez d’actes administratifs dans les formes de l’art.
Ce n’est pas parce que, entre temps, une « rébellion » savamment entretenue par des quidams bien connus distraie l’opinion des enjeux électoraux du second tour, que la Banque centrale va empêcher la CENI d’entrer en possession de ses ressources financières.
Il semble que la cause est ailleurs. C’est-à-dire que le responsable de ce compte à la Banque centrale se trouve être ni plus, ni moins, qu’un proche de l’UFDG.
Il faut que cette situation cesse, sinon le 24 octobre ne pourrait être qu’une date de plus.
Le Premier ministre, le Ministre de l’économie et des finances, le MATAP et tout le Gouvernement doivent se mobiliser, pour résoudre ce faux problème.
Avant qu’il ne soit trop tard…
Oumar Kaba
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